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Consonne fricative alvéolaire voisée
Aujourd’hui, nous allons aborder un sujet qui suscite la curiosité de nombreuses personnes. Consonne fricative alvéolaire voisée est un sujet qui a fait l'objet de débats et d'études au fil des années, et dans cet article nous allons explorer ses différentes facettes. De ses origines à son impact sur la société actuelle, Consonne fricative alvéolaire voisée a retenu l'attention des experts et des passionnés. Tout au long de cette analyse, nous examinerons les différentes perspectives qui existent sur Consonne fricative alvéolaire voisée et tenterons de faire la lumière sur certains des mythes et réalités qui l'entourent. Nous espérons qu'à la fin de cet article, les lecteurs auront une compréhension plus complète et plus profonde de Consonne fricative alvéolaire voisée et pourront apprécier sa pertinence dans le monde moderne.
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La consonne fricative alvéolaire voisée est un son consonantique très fréquent dans de nombreuses langues parlées. Le symbole dans l’alphabet phonétique international est . Ce symbole est celui de la lettre latine Z minuscule.
Dans certaines langues, il peut être syllabique, , comme en chinois ; palatalisé, , comme en slave (on parle alors de consonne mouillée).
Caractéristiques
Voici les caractéristiques de la consonne fricative aléolaire voisée :
Son mode d'articulation est fricatif, ce qui signifie qu’elle est produite en contractant l'air à travers une voie étroite au point d’articulation, causant de la turbulence.
Son point d'articulation est alvéolaire, ce qui signifie qu'elle est articulée avec soit la pointe (apical) soit la lame (laminal) de la langue contre la crête alvéolaire.
Sa phonation est voisée, ce qui signifie que les cordes vocales vibrent lors de l’articulation.
C'est une consonne orale, ce qui signifie que l'air ne s’échappe que par la bouche.
C'est une consonne centrale, ce qui signifie qu’elle est produite en laissant l'air passer au-dessus du milieu de la langue, plutôt que par les côtés.
Son mécanisme de courant d'air est égressif pulmonaire, ce qui signifie qu'elle est articulée en poussant l'air par les poumons et à travers le chenal vocatoire, plutôt que par la glotte ou la bouche.
En français
Le français n’est pas une consonne alvéolaire, mais dentale. Pour marquer la différence, le symbole avec un diacritique supplémentaire est utilisé. Il s'écrit s entre voyelles ou z, généralement dans les mots empruntés au grec.
Exemples de prononciation du en français : rose, hasard, zoo, vizir.
Le latin, comme certaines autres langues indo-européennes, ne possédait pas le son , et la présence d'un entre voyelles qui ne pouvait se voiser a conduit au rhotacisme.
En allemand, le s se prononce en début de mot lorsqu'il est suivi d'une voyelle : sie, sowie, etc.
Les parties grisées indiquent une articulation jugée impossible. Les cases blanches vides indiquent des articulations théoriques possibles mais non encore attestées. Les cases marquées d’un astérisque (*) indiquent des sons attestés non encore représentés officiellement dans l’API.
Lorsque deux symboles apparaissent dans une case, celui de gauche représente une consonne sourde, celui de droite une consonne voisée (ne s’applique pas aux clics, présentés au centre des cases en bas du tableau).
Les cases séparées par des pointillés emploient normalement les mêmes symboles API de base, et ne diffèrent éventuellement que par les diacritiques appliqués pour déplacer leur articulation, par exemple la nasale n represente une dentale ou une alvéolaire.
Les affriquéest͡s, d͡z, t͡ʃ, d͡ʒ, t͡ɕ, d͡ʑ sont parfois notées à l’aide des ligaturesʦ, ʣ, ʧ, ʤ, ʨ, ʥ ne faisant plus partie de l’API (il est recommandé de les remplacer par les deux articulations, liées avec une ligature tirant – suscrite ou souscrite).
Les occlusivesinjectivessourdes, sont parfois notées à l’aide des symboles ƥ, ƭ, ƈ, ʠ (formés sur la base de la consonne pulmonique correspondante avec une crosse ajoutée), qui ne font plus partie de l’API (il est recommandé de les remplacer par le symbole de la consonne voisée avec l'anneau diacritique de dévoisement).